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On entend souvent que pleurer, c’est être faible. Que trop ressentir, c’est un défaut. Et qu’une femme forte doit garder le contrôle.
Mais si c’était l’inverse ?
Et si être sensible était, justement, une des plus grandes formes de force ?
💛 Sensible, et alors ?
Être sensible ne signifie pas être fragile.
C’est vivre les émotions intensément.
C’est ressentir profondément ce qui se passe autour de soi.
C’est aussi souvent faire preuve de beaucoup d’empathie, de présence, d’écoute.
Combien de femmes pleurent discrètement, s’excusent de « trop ressentir », alors qu’en réalité… elles portent le monde sur leurs épaules, en silence ?
⚖️ Une pression contradictoire sur les femmes
Aujourd’hui, on nous demande d’être :
Et si on montre trop d’émotion, on est vite jugées comme instables ou vulnérables.
Alors on se blinde. On ravale nos larmes. On se coupe de notre propre sensibilité.
Mais cette façade a un prix.
🧭 Et si la sensibilité était une boussole ?
Notre sensibilité nous parle. Elle nous montre :
Pleurer, ce n’est pas un bug. C’est un message.
C’est le corps qui dit : « stop », « merci », « je suis touchée ».
💡 Comment apprivoiser sa sensibilité ?
Quelques pistes :
🎙️ Pour aller plus loin : écouter l’épisode 6 du podcast Anahata
Dans cet épisode très personnel, je partage mon propre rapport à la sensibilité.
Cette dualité que je ressens souvent : être capable d’encaisser… mais aussi de pleurer sans prévenir.
Je t’y parle d’émotion, de larmes, d’empathie, de pression sociale et de ce que cela change, quand on accepte enfin de ne plus se juger.
👉 À écouter ici : https://smartlink.ausha.co/anahata-entre-elles-et-moi/sensible-et-forte-et-si-c-etait-compatible
💬 Et toi ?
Te considères-tu comme une personne sensible ?
T’arrive-t-il de cacher ton émotion, par peur du regard des autres ?
Viens en parler en commentaire, ou écris-moi. Cet espace est aussi le tien.